Informations sur l’inspection visuelle des réseaux d’assainissement avec AGM TEC

L’inspection visuelle des réseaux d’assainissement constitue l’une des méthodes d’exploration des équipements d’épuration, dans l’optique de percevoir leur qualité. L’un des éléments à prendre en compte dans l’assimilation d’un ouvrage pour son évaluation est l’inspection visuelle permettant de rendre visible le contenu de l’ouvrage. Ainsi, l’évaluation d’un ouvrage tient compte des éléments tels que la disposition de l’ouvrage, les conditions internes de l’ouvrage, l’opacité de l’ouvrage, la géométrie de l’ouvrage, les conditions du décor direct de l’ouvrage, la solidité de l’ouvrage.

Règles classiques d’inspection visuelle

Finalités des inspections visuelles

La finalité des inspections visuelles est d’apprécier l’apparence de la contexture et du mécanisme de la canalisation. Ainsi, les méthodes de contrôle de canalisation devraient permettre une mise en perspective des contenus et de la géométrie des canalisations, à l’instar des flaches ; les contrepentes, des déformations transversales, et même des pénétrations.

Exigences impératives pour une bonne inspection visuelle La réalisation des finalités des inspections visuelles des réseaux de canalisation existant passe impérativement par la satisfaction de certaines exigences. Ces exigences diffèrent selon les typologies d’inspection visuelle.

Pour des canalisations et branchements Quatre (04) besoins doivent être satisfaits : d’abord la description de l’apparence de l’ouvrage inspecté. Ceci se fait en positionnant et en quantifiant les observations et les jonctions de branchement, et en précisant sa typologie ; ensuite, repérer les défectuosités. Trois (03) sortes de défectuosités peuvent être repérées à cet effet : les anomalies structurelles, parmi lesquelles nous avons les déformations, les fissures, les effondrements, les défauts d’assemblage, les dégradations de surface et les obstructions. Nous avons les anomalies géométrie à savoir : les changements de section, de pente d’orientation et de coudes. Enfin les anomalies fonctionnelles : il s’agit principalement des défauts d’opacité visible, des modifications des profils en long.

Pour regard de visite ou occasionnellement visitables, boites d’inspection et les branchements, les chambres et ouvrages divers. Ici, seules deux (02) exigences sont à satisfaire. Il s’agit de la traditionnelle description de l’état apparent, des ouvrages inspectés, en situant et en quantifiant les observations. Ensuite le repérage des défectuosités. Les anomalies structurelles ici sont perceptibles au niveau du tampon, de la cheminée, des systèmes de réduction, des raccordements canalisation sur regard des cunettes et banquettes. Seuls les défauts d’opacité apparaissent dans les anomalies fonctionnelles.

Méthodes d’inspections visuelles Deux (02) types d’examen principaux peuvent être envisagés : L’examen visuel indirect, et l’examen visuel direct. L’examen visuel indirect est une technique d’inspection par caméra de télévision, pour les réseaux non-visibles et pour les canalisations de branchement. L’examen visuel direct existe sous trois (03) formes. La première forme se fait à partir de la surface pour la boîte d’inspection et de branchement. La deuxième se fait par descente d’opérateurs dans les ouvrages pour inspecter les regards avec prise en compte des méthodes hygiéniques et des mises en garde contre les risques. La troisième se fait par débarquement d’opérateurs dans les ouvrages pour l’inspection des réseaux visitables

Recommandation pour la réalisation de l’inspection visuelle

Méthodes classiques d’inspection visuelles Ces méthodes sont pléthoriques et constituent premièrement en un nettoyage avec éradication des sédiments non-adhérents. Une autre méthode consiste en la remise en eau par déversement en amont des portions à inspecter. Ceci n’est pas applicable pour ce qui est de la recherche d’eaux parasites, il sera plutôt question à ce niveau d’un assèchement relatif de la canalisation. Une autre encore consiste en une réduction des débits par dérivation partielle. Ensuite la descente dans l’ouvrage d’origine, l’initialisation du « zéro », le démarrage de la vitesse dans la canalisation, qui a pour objectif de permettre la détection des défectuosités et des spécificités, après l’on procède à la prise des mesures et des positions linéaire par rapport au zéro. Une étape relative à la photographie des anomalies détectées permet que ces données soient inscrites dans le rapport d’inspection.

AGM TEC- 05 61 42 90 63

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